Quand un chameau fait la vaisselle

Contes de Tunisie  pour adultes et grands enfants

Quand un chameau fait la vaisselle ou quand un pou devient l'animal favori d'un sultan, quand une princesse épouse une tête d'âne, quand la 'Hanfoucha se choisit un mari, … En compagnie du célèbre Ch'ha, le plus fou et le plus sage de tous les hommes, c'est un parcours qui nous mène des rues de Tunis, au-dessus des mers, au cœur des palais et jusqu'au milieu des déserts.

Une promenade dans la 'Hara,  la vieille ville juive de Tunis, à la recherche de Ch'ha… Des parfums et des couleurs, tout un chemin dans un conte cadre - dans la tradition des conteurs d’Orient - qui vous promène et qui vous perd délicieusement dans les ruelles et les palais. Un beau spectacle qui a déjà bien tourné : humour, amour et merveilleux sont au rendez-vous.

Durée : environ 1 h 20

 

Ce spectacle compose, avec "Pour 500 rials d'or" et "Couscous, loukoums et autres festins d'ogresse" une trilogie de contes du Maghreb et histoires de Ch'ha, le célèbre fou-sage. "Quand un chameau fait la vaisselle" a pour thème principal l'amour. Les deux autres spectacles abordent  respectivement les thèmes de la fortune et de la gourmandise, ils sont composés selon un tissage digne de la tradition des conteurs d'Orient.

 

Presse

Sonia Koskas a cousu ce spectacle au petit point avec les contes judéo-arabes de son enfance. Ça commence sur un défi : un Égyptien conteste le titre de « Roi des fous » de Ch’ha, l’avatar tunisien de Nasr Eddin. Il se rend à Tunis et va de surprise en surprise, et nous de rire de ravissement, car on y croise aussi d’autres histoires, dont une très belle et exotique version de « La Belle et la Bête ». Soirée délicieuse…

La parole

Cette invitation au voyage qu’a proposé la conteuse s’est révélée exotique et un peu folle et chacun a fait connaissance avec une tête d’âne qui parle, un pou géant, un homme qui vend des conseils, de fourbes vizirs, un chameau qui fait la vaisselle… Toutes les histoires se sont croisées dans les dédales des rues de Tunis, dans un dédale de mots pertinemment employés également. Sonia Koskas a su immédiatement subjuguer l’auditoire qui n’a pu résister à la malice de Ch'ha, au charme d’une petite reine cafard, et surtout au naturel et au charisme de la conteuse.

                                               Le Bien Public